Mémoires ancestrales

L’image ci-contre montre une pierre gravée trouvée il y a 80 ans sur le site archéologique de Calakmul au Mexique. Comme tant d’autres vestiges inexplicables par les théories de l’évolution à laquelle l’archéologie semble soumise, cette pièce est restée longtemps cachée au fond d’un musée.

Dans quasi aucune de mes séances, je n’ai retrouvé des mémoires d’homme des cavernes, de Neandertal ou de Cro-Magnon. Bien qu’un grand nombre de ces mémoires mette en lumière des épisodes d’incarnation datant de 10’000 ans et bien plus, l’idée que nous descendons du singe ou de l’homme des cavernes ne se trouve point confirmée par les informations obtenues lors des séances de décodage bioénergétique.

Les vestiges les plus anciens étudiés sérieusement par l’archéologie officielle datent de 11’000 ans et proviennent de sites sumériens. Curieusement, plus les couches mises à jour sont anciennes, plus elles comportent des éléments de civilisations sophistiquées. Nous n’avons pas encore la technologie pour dater les pierres sculptées, ça ne saurait tarder. La datation des constructions telles que Cuzco bouleversera l’archéologie et nous obligera de reconsidérer sérieusement la présence de civilisations anciennes sur Terre, disposant d’outils dont nous ne pourrions que rêver, même aujourd’hui.

Je ne suis pas le seul à affirmer que le parcours de nos âmes a commencé il y a très longtemps. Pour des raisons qui peuvent nous échapper totalement, nos âmes, déjà très évoluées, ont été amenées à s’incarner dans la densité terrestre, avec des préoccupations qui sont en lien avec cette densité. L’arrivée d’un bon nombre de vieilles âmes sur Terre est antérieure à la période de l’Atlantide. Mes informateurs mes disent que cela remonte à plusieurs centaines de milliers d’années. Nos mémoires ancestrales nous renvoient ainsi bien souvent aux difficultés d’allier la densité terrestre avec la spiritualité.  La thématique très actuelle « comment disposer de la connexion directe aux mondes divins » sans avoir à passer par des moyens auxiliaires (religions, guru, drogues) est totalement en lien avec cette difficulté. Notre « chute sur Terre » est en fait un parcours initiatique qui, pour en sortir, nous oblige à repenser différemment. La distance n’existe que sur le plan de la densité, de la matière, l’Esprit ne connaît pas la distance. La séparation n’est ainsi que virtuelle. Alors que les religions nous parlent d’un Dieu extérieur à nous, l’abolition de la distance voudrait que nous vivions tous dans le divin.

Pour sortir vivant de l’aventure terrestre, il s’agit de réparer nos mémoires, de libérer les parties perdues dans les traumatismes divers sur ce chemin initiatique. Afin de comprendre le sens et le contexte de certaines de ces mémoires très anciennes, l’éclairage de la part d’Anton Parks  (Auteur des chroniques de Girku, Tome 1-3 et d’autres ouvrages) est d’une grande utilité. Il m’a permis d’accepter que certains d’entre nous (dont moi-même), avons vécu des expériences dans des avions et des vaisseaux spatiaux bien avant l’ère actuelle. Les expériences de ces temps anciens ont laissé des traces traumatiques sur le parcours des incarnations de l’âme et sont de nature à générer des perturbations énergétiques incompréhensibles et des angoisses métaphysiques profondes. Moi-même, je n’ai pu prendre un avion sans vivre de stress qu’après avoir libéré une série de mémoires en relations avec des temps très anciens.

Libérer nos mémoires ancestrales fait partie intégrante de notre parcours d’évolution. Il nous permet de retrouver les compétences perdues dans nos batailles avec la Vie. Comprendre pourquoi ces difficultés nous ont été servies revient à comprendre l’action du karma.

 

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