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Pourquoi nous attrapons plus souvent des rhumes en hiver, et cela même sans avoir eu froid ?
Ça fait un bon 04moment que je mets en question le mythe du refroidissement, surtout parce que j’observe depuis longtemps qu’un début de rhume, avant de s’amplifier et de s’en prendre à tout le système respiratoire, est d’abord une réaction de défense. Mais défense contre quoi ?
Mes propres rhumes, et j’en vis à des intervalles réguliers, été comme hiver, m’ont servi de terrain d’études pour élucider les mécanismes qui sont à la base de ses rhumes. Comme toute ressemblance de mes rhumes avec les vôtres est probable, mais jamais certaine, mes idées ne serviront donc qu’à ébrécher le mur des idées reçues et jamais vérifiées.
Notre douche matinale nous permet de nettoyer la peau du corps physique. De manière plus subtile, notre corps astral a aussi besoin d’être nettoyé et débarrassé de ses scories que sont les formes-pensées obsolètes. Ce nettoyage du corps astral est un processus indispensable, permanent et inconscient qui évite l’engluement dans nos déchets sur les plans subtils. Nous pouvons soutenir ce processus de manière active par la méditation, la relaxation, mais aussi par un bain de soleil car la lumière solaire joue un rôle très important dans ce processus. Lorsque en hiver, la lumière solaire vient à diminuer, voire à manquer sérieusement, le nettoyage naturel de notre corps astral se fait nettement moins bien. L’accumulation de déchets attire dans notre corps astral des formes de conscience très particulières, des parasites astraux très spécifiques, de la même façon que l’accumulation de déchets dans la rue pourrait attirer des rats.
Nous pouvons nous représenter ces parasites astraux comme des espèces de grands vers d’une taille de quelques centimètres à plusieurs mètres et d’une densité très faible. La présence de ces parasites dans notre corps astral génère, sur le plan physique, une réaction de défense. Très curieusement, ces réactions de défense se déroulent souvent au niveau des muqueuses du système respiratoire, dans les fosses nasales et dans les poumons. Cette réaction de défense se traduit par une inflammation des muqueuses qui se battent contre un agent pathogène dont la nature est totalement invisible. Cette causalité, je l’observe depuis un certain temps, mais ce n’est que récemment que j’ai réussi à établir le lien entre les déchets dans l’astral et le parasitage. Ainsi, il s’avère qu’un rhume n’est pas forcément la conséquence d’une attaque d’origine microbienne ou virale. Il se peut d’ailleurs que l’apparition de microbes sur nos muqueuses enflammées est simplement un effet secondaire. En établissant le lien avec le manque de lumière solaire, je comprends aussi pourquoi la fréquence des rhumes est statistiquement plus élevée en hiver qu’en été.
Je ne voudrais pas terminer cette contribution scientifique sur la cause de l’augmentation des rhumes en hiver, sans aborder la question « comment compenser le manque de soleil hivernal ?» . Bien sûr que l’escapade saisonnière dans l’hémisphère opposée paraît la meilleure solution, mais difficilement applicable à large échelle. Nous pourrions aussi réduire notre temps de travail en hiver pour passer une heure par jour à effectuer des respirations et des méditations qui compensent le nettoyage naturel déficient. Dans un futur tout à fait envisageable, nous pourrions développer les sciences de l’invisible et les méthodes qui permettent d’effectuer ce même nettoyage du corps astral d’une manière efficace et rapide, même sous une épaisse couche de stratus hivernal.
Je suis intimement convaincu que les médicaments du futur vont être le résultat d’une compréhension accrue de notre fonctionnement énergétique, et cela malgré ce que nous pourrions penser en observant, par exemple, les attaques frontales menées contre l’approche homéopathique.