Darwin et la sortie de l’eau des espèces aquatiques

En 1859, Charles Darwin publie son livre « de l’origine des espèces » : un vrai pavé dans un monde en quête de compréhension de nos origines. Seul le lecteur attentif lira dans les dernières lignes de cet ouvrage les doutes exprimés par Darwin sur ses propres théories. D’une grande polyvalence, il avait bien conscience que la validité de ses théories ne devrait venir de l’étude de fossiles. Or, il admit que lors de la rédaction de son livre, les preuves étaient encore loin d’être assemblées.
Toujours est-il que sa théorie paraissait tellement belle qu’elle a été adoptée par de nombreux scientifiques, oubliant leur devoir de prudence et de neutralité. Encore aujourd’hui, la théorie de l’évolution selon Charles Darwin nous est enseignée comme une vérité prouvée scientifiquement, mais ce n’est hélas pas le cas.
Pourquoi je vous parle de tout cela ? Qu’est-ce que cela peut avoir à faire avec la bioénergétique et les mondes subtils. On va y arriver : Je vais vous raconter ce qui est arrivé à un des naturalistes contemporain de Charles Darwin et adeptes de sa théorie. Il était fermement convaincu que les espèces terrestres ont évolué à partir d’espèces marines sorties progressivement de l’eau. Le Karma n’avait pas l’air d’être en accord avec cette idée là et s’est manifesté en obligeant l’âme du naturaliste à s’incarner, et cela à plusieurs reprises, dans des espèces aquatiques et en leur faisant vivre la sortie de l’eau selon cette nouvelle théorie de l’évolution. Une tortue se trouva échouée dans le sable, le soleil brûlant lui dessécha les yeux. Un dauphin se retrouva dans le filet de créateurs de parcs aquatiques. Ses yeux n’ont pas supporté la sécheresse durant le voyage.
Ce naturaliste, mais aussi ces êtres aquatiques échoués sous un soleil brûlant, c’était moi dans d’autres incarnations. J’ai été amené à le comprendre suite au décollement des rétines de mes deux yeux, causés par le dessèchement du vitré, la substance gélatineuse transparente à l’intérieur du globe de l’œil. La compréhension ne répare rien, mais elle rend plus sereine. Le naturaliste au 19ème siècle est devenu aveugle suite aux résonances avec les traumatismes subis par la tortue et le dauphin. Quant à moi, je bénis les progrès de la chirurgie des yeux et remercie les médecins ophtalmologues intervenus en urgence pour sauver ma vue.