Ce mois-ci (mai 2018), j’ai décidé d’aborder un vrai sujet bateau, disons plutôt paquebot. Il se peut que vous ayez déjà (presque) tout lu à ce sujet, pratiqué tous les exercices et méditations proposés en vue de gagner un max de confiance. Mais alors, que puis-je bien ajouter à tout ce qui a déjà été dit? Et pourtant, je vous invite à lire la suite, peut être qu’il y a du nouveau en la matière.
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Contributions au blog depuis février 2018
Entre excès de stabilité et manque d’instabilité
Le monde qui nous entoure ne cesse de nous parler de ces deux opposés tout en nous incitant à croire qu’il n’y a que la stabilité qui soit désirable : stabilité monétaire, politique, familiale, écologique, etc. Tous les printemps, les jours se rallongent, les bourgeons éclosent, les fleurs s’ouvrent, les abeilles sortent de leur ruche et les bouchons se forment dans le tunnel du Gothard. Que de stabilité ! Pourtant, lorsque nous regardons les choses de plus près, nous observons l’apparente instabilité à l’œuvre pour maintenir cette stabilité. Nous ne tenons sur un vélo qu’en effectuant continuellement de petites incursions vers la droite et vers la gauche, de même, nous ne tenons en équilibre sur nos jambes que grâce à des micro-mouvements. Philosophiquement, nous pourrions conclure que la stabilité ne peut exister que grâce à l’instabilité.
Être un plus souvent soi-même
Parmi les leitmotivs du développement personnel en tête de liste, nous allons trouver l’expression « devenir soi-même ». Cela sous-entend que nous ne sommes pas nous-mêmes et que grâce à des efforts de toute sorte, nous allons chercher à le devenir de plus en plus. Un des obstacles majeurs sur ce chemin du devenir sera de concilier la recherche qui pousse à prendre soin de ce « soi-même » avec une vie en société. Est-ce même possible ? Je me suis penché un peu sur la question et je vous livre quelques unes de mes réflexions.
La différence entre la pensée créatrice et la pensée magique
Tout d’abord, qu’est-ce que la pensée créatrice. Lorsque je veux obtenir quelque chose, atteindre un but, trouver un job, une compagne, etc. je peux informer l’Univers de mon projet. Je pourrai placarder mon vœu sur un panneau d’affichage dédié à mes désirs, je pourrai prier pour cela et allumer une chandelle. Je pourrais même m’imaginer être déjà en possession de ma nouvelle voiture ou me visualiser dans ma nouvelle situation, comme si ce que j’essayais d’obtenir était déjà réalité. La pensée créatrice consiste à attirer quelque chose dans son champ, en correspondance une pensée exprimant un désir.
Et la pensée magique c’est quoi alors ?
Allumer du bois mouillé
ou
« Comment changer la personne avec laquelle je me trouve en couple »
Tout récemment, j’ai eu l’occasion d’aborder un thème bien connu de tous ceux (et surtout celles) qui se trouvent dans une relation de couple avec l’impression de devoir faire avancer le couple tout seul, comme s’il s’agissait de traîner une charrue.
D’un point de vue plutôt biologique, évoluer répond au besoin de la survie. Quand nous sommes en danger, c’est à ce moment-là que nous essayons de trouver une issue à la situation. Or, quand il est question de survie dans un couple, il est souvent trop tard. En d’autres termes, un des partenaires aura déjà décidé que pour survivre, il allait sortir de couple. La thématique de la survie appliquée au couple risque fort de ne point constituer un pôle attractif qui permettrait à un couple d’évoluer par une nécessité autre que l’urgence absolue. La survie du couple répond donc aux impératifs de survie de chacun des deux participants. Mais bien avant qu’il soit question de survie d’un couple, c’est la Vie de ce couple et la dynamique qui s’en suit qui détermine son issue future. Lire la suite
Comment éviter le blues hivernal

Grâce à une méthode simple, retrouver la lumière du soleil en soi en plein hiver !
Dans la mythologie égyptienne, l’uræus est l’œil de Rê, une déesse solaire. On le retrouve la plupart du temps représenté sur la coiffe de pharaon, dressé sur le front, dont il est l’un des attributs.
Sur le plan subtil, nous disposons tous d’un uræus, il sert à capter l’énergie solaire pour la diffuser à l’intérieur de notre corps. En été, lorsque la lumière solaire est intense, ce circuit est largement alimenté, mais lorsque la lumière baisse et que le soleil vient à ne plus se montrer que de temps en temps, notre corps n’est plus assez alimenté en lumière solaire. Nous sommes tous affectés, de manière variable, par ce manque de lumière. Certaines personnes, plus vulnérables que d’autres, affichent des symptômes de baisse d’humeur, voire une dépression saisonnière qui ne s’en va qu’avec l’arrivée du printemps. Lire la suite